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 Maîtrise de Monsieur Walpole Robert.

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Robert Walpole
Professeur de Botanique.
Professeur de Botanique.
Robert Walpole


Messages : 73
Date d'inscription : 03/01/2012
Age : 35
Localisation : Ah Ah .... A l'ESM ? Sur le chemin de Traverse? Je suis partout et nul part....Cherche !

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MessageSujet: Maîtrise de Monsieur Walpole Robert.   Maîtrise de Monsieur Walpole Robert. Icon_minitimeDim 11 Mar - 14:26

MAITRISE POUR LE GRADE DE CONFÉRENCIER DE :

Monsieur/Madame Walpole Robert.


LIEU D’ENSEIGNEMENT :

École Supérieure de Magie, Londres.

MAITRISE PORTANT SUR LA MATIÈRE :

Botanique.


SUJET IMPOSE :

Conséquences des effets météorologiques et humains sur les plantes aquatiques et lien avec le reste de la faune et de la flore aquatique ou non.
----------------------------------------------------------------------------------------------------

Robert était assis à son bureau de sa maison dans le quartier chic de Londres. Sa plume à la main, il grattait des feuilles de parchemin depuis la veille. Son bureau était un véritable chantier : des feuilles de parchemins dans tous les sens, des livres ouverts éparpillés par ci par là, des échantillons de plantes dans des bocaux, des planches de professeurs universitaires à la retraite, …. La cause de tout ce bordel ? Le passage du diplôme de conférencier. Robert rêvait depuis toujours de tenir une conférence devant un amphithéâtre plein, tous les regards tournés vers lui, une ovation à la fin de son exposé, des autographes, des élèves admiratifs d’un tel savoir, des hommes jaloux….Ca, c’était la vie. Mais pour que le rêve devienne réalité, Robert devait obtenir le diplôme. Une chance phénoménale avait fait en sorte que son sujet de maîtrise soit en lien direct avec le sujet qu’il avait choisit lors de son entretient avec Edward Suffolck quelques années auparavant : les deux portaient sur les plantes aquatiques. Or, Robert
était passionné par ces plantes. Il avait visité les quatre coins du globe (oui oui, une boule à des coins !) pour voir un maximum de ces plantes si fascinant tant par leur habitat que par leur régime alimentaire. Pour son entretient, Robert avait choisit pour thème « La prolifération des plantes aquatiques ». Il avait parfaitement maîtrisé son sujet et avait obtenu la médaille de meilleur orateur de l’université. Mais cette fois, c’était différent, il n’avait pas choisit le sujet, on lui avait imposé…Et dans de tels cas, l’inspiration venait souvent beaucoup moins vite…. Après avoir révisé des semaines durant, il se sentait fin près pour affronter cette épreuve. Ce concours serait sûrement le dernier de sa vie il voulait donc l’obtenir avec toutes les félicitations qui l’accompagnait. Il grattait le papier, y écrivant toutes ses connaissances.

« L’Angleterre est un pays au temps assez humide et frais. Nous trouvons donc ici des plantes qui répondent à un tel climat.La Silicium Aquaris, par exemple, est une plante typique du paysage aquatique anglais. Se trouvant dans les rivières, La Silice d’eau prolifère en même temps que la fraie des saumons afin que le pollen s’accroche aux œufs de poisson pour conquérir du territoire. Or, le réchauffement climatique dérègle le comportement des saumons qui fraient plus tôt dans l’année. Donc, lorsque les Silices pollinisent, le pollen ne peut s’accrocher à rien. Il y a donc des zones qui sont en surpopulation de Silices puisque l’espèce était déjà présente et des zones où il n’y a pas de Silice puisqu’aucune pollinisation n’a été jusque là. En lien direct, la Silice fait partie du régime alimentaire du Crapaud cornu.
Cependant, puisque la Silice est non présente dans certaines zones, on déplore une baisse de fréquentation de ces lieux par les crapauds cornus. Cette disparition des crapauds cornus entraine une disparition des Hérons Scandinaves car ceux-ci se nourrissent presque exclusivement de crapauds cornus. Ce qui finit par une désertification de certaines zones géographiques. Cette désertification est
beaucoup plus visible dans certains endroits comme en Irlande. En effet, là-bas les pluies incessantes font partie du paysage local. Les Bourdons troglodytes avait donc fait de l’Irlande leur pays de prédilection. Malheureusement, on constate depuis quelques temps que l’augmentation de la pollution due aux usines moldus dérègle le climat et que les pluies se font de plus en plus rares. Les bourdons troglodytes changent donc de région, cherchant un endroit où les pluies sont plus récurrentes. La désertification de l’Irlande par les bourdons troglodytes est un énorme problème écologique puisque cette race de bourdon était la seule capable de transporter le pollen de la Stratulla Vénéna dont seule la fleur dépasse de l’eau. Le pollen de cette fleur est tellement poison qu’aune insecte ne s’y frotte si ce n’est les bourdons troglodytes. Ceux-ci étant de plus en plus rares, les Stratulla Vénéna disparaissent petit à petit. Le problème étant que la Stratulla Vénéna est déjà une plante rare mais en plus la racine de cette plante est essentielle à la composition de certaines potions médicales comme la potion suprérectile qui résout les troubles érectiles. A cette vitesse, d’ici dix ans cette plante à la belle fleur violette disparaîtra des paysages irlandais et les personnes souffrant de trouble de l’érection devront
inciter leurs femmes à aller voir ailleurs pour assouvir leurs pulsions sexuelles.

Changeons de région et dirigeons nous sur les berges de la mer Méditerranée. Dans cette région
ensoleillée, nous trouvons abondamment de la Branchiflore. Cette plante à l’aspect répugnant est très utile pour les nageurs qui souhaitent battre des records. Malheureusement pour eux, la Méditerranée est devenue une vraie poubelle. Nous constatons également des vents de plus en plus violents sur la côte. La branchiflore s’accroche aux rochers pour ne pas être emportée par le courant. Mais à marrée basse, les plantes ne sont plus sous l’eau et les vents violents les décrochent des rochers pour les envoyer voir du pays. Ceci ajouté à la baisse de pollinisation due à l’augmentation des déchets
dans la mer, la branchiflore disparait peu à peu des côtes. »


Voilà tout ce qu’avait écrit Robert en presque deux jours. Ceci semblait n’être rien mais cela lui avait demandé un énorme travail de recherche. Il n’avait pas fait d’introduction ni de conclusion et était loin
d’avoir finit son développement. Le lendemain, il s’attaquerait aux plantes d’Asie. Mais pour l’heure, il éteignit la lampe de son bureau sortit en essayant de na pas écraser de livres et se dirigea vers sa chambre. Il lui restait une semaine pour rendre sa maîtrise au ministère. Il avait confiance en lui, c’était une nécessité dans des cas comme ça….
Le lendemain, il s’était levé à dix heures, avait pris un café bien corsé avant d’aller prendre une bonne douche. L’eau ruisselant sur son corps lui procurait un bien fou. Une fois propre, il sortit prendre l’air,
il fallait qu’il se détende un peu car la maîtrise le stresser en permanence alors qu’il avait encore beaucoup de temps. Il alla se promener dans le vieux Londres et revint chez lui deux heures plus tard. Il se réinstalla à son bureau, trempa sa plume dans l’encre et recommença à écrire, s’inspirant d’un
livre qu’il avait posé en bord du bureau : « L’Asie des plantes ».

« En Asie, on constate un fort taux de pollution qui ne cesse de croître depuis quelques années. On remarque, en conséquence à ce phénomène la disparition de certaines espèces comme la Phitanicus Aquarius. Cette plante aquatique prospère dans un milieu sein avec un courant peu fort. L’accroissement de la pollution aérienne et marine a vivement affecté le fonctionnement de ces plantes qui ont commencé à double les saisons de pollinisation. On constate donc dans les pays asiatiques comme la Chine une surpopulation de Phitanicus Aquarius due à une forte pollution. En contrepartie, à cause de cette pollution, on déplore l’éradication totale de l’orchidée des marais, une plante carnivore dont le venin contenue dans les glandes salivaires sert en cuisine pour donner un petit goût piquant. La disparition de cette espèce n’a pas entrainé une catastrophe écologique car cette plante était déjà rare et n’entrait dans le régime alimentaire que de certaines rares espèces. On trouve également au Japon une espèce rarissime d’Algus Véritatus. Cette plante aquatique entre dans la composition du veritaserum. Mais cette potion est très utilisée, par les collèges japonais et on constate une forte baisse de fréquentation des mers par l’Algus Veritatus. Cette espèce étant déjà rare naturellement, la
forte utilisation de celle-ci par les hommes ne fait qu’augmenter le malaise. De plus, la surpopulation asiatique fait que de nombreux tsunami surviennent sur les côtes. A chaque vague, les plantes vivants sur les fonds marins sont éjectées sur les plages et dépérissent. C’est le cas du Fluxi Aquastius qui vit
accroché telle une ventouse sur le fond marin. A chaque tsunami, la population de Fluxi Aquastius diminue car les plantes les plus vieilles ne collent pas assez au sol et sont emportées par le courant. Cette plante est utilisée dans la médecine locale pour soigner les rhumatismes, sa disparition va entraîner une baisse de production des médicaments et donc de plus en plus de problèmes pour
les personnes âgées.

Passons maintenant dans le grand nord. Là bas, le temps est toujours froid, les plantes y vivant
se sont donc adaptées à de telles températures. Cependant, le réchauffement climatique augmente la température. La température de l’eau est donc plus chaude et ceci dérègle le fonctionnement des plantes. Prenons l’exemple de la Caldovis Nix Aquatis dont la pollinisation qui, habituellement, se déroule en juillet se déroule maintenant en mars. Mais en mars, les changements de températures se font plus ressentir et on peut passer de moins cinq à moins vingt en une nuit. Ces écarts de températures sont tels que les jeunes plantes ne survivent pas. Il y a donc deux pollinisation par ans. Mais à ce rythme, les plantes mères n’ont pas le temps de réapprovisionner leurs stocks de pollen et la polonistaion est moins
dense. De ce fait, il y a moins de jeunes pousses. Au fil des ans, la Caldovis Nix Aquatis est vouée à une disparition certaine si les hommes ne réagissent pas. »


Robert arrêta. Il avait passé quatre heures à écrire ce paragraphe. Il avait finit son développement. Il voulait faire l’introduction et la conclusion le soir même afin de déposer sa maîtrise le lendemain au ministère. En attendant, il sortit de chez lui et se rendit à l’ESM où un grand professeur originaire de France venait faire une conférence sur la « Psychologie expérimentale : somme nous conscient que nous avons un subconscient ? ».

Arrivé à l’ESM, il remarqua que l’amphithéâtre était rempli. Il trouva tout de même une place à côté de son collègue professeur de littérature. Cet homme avait lu tous les textes de Freud sur la psychanalyse.
Ils commencèrent à parler puis le noir se fit dans la salle. Un projecteur s’alluma sur scène et un homme d’une quarantaine d’année se fit voir. Il était fin, élancé, des lunettes, des cheveux courts. Habillé dans un costard gris avec des chaussures grises foncé. Le silence se fit dans la salle. L’homme commença sa planche.
Deux heures et demie plus tard, Robert ressortait accompagné de son collègue. Il était vingt deux heures trente. L’orateur maîtrisait parfaitement sa planche et avait su répondre à toutes les questions qu’on avait pu lui poser. Robert le savait….Un jour ce serait lui sur le devant de la scène mais pour ce faire il devait absolument finir sa planche ! Il prit congé de son collègue après avoir bu un coup avec lui puis il rentra chez lui. Il s’installa à son bureau et se remit à écrire. Sa plume laissait couler l’encre dans une fine écriture penchée.

« Introduction :

Dans nos contrées, nos régions, nos pays, nos continents, nous croisons des animaux, des humains mais aussi des plantes. De tous, il me semble que ce sont les plantes les plus intéressantes. J’en ai d’ailleurs fait mon métier. Les plantes sont fascinantes dans le sens où elles sont très variées, ont une reproduction autre que sexuée, ont des besoins essentiels différents de ceux des êtres vivants, ont
différentes utilisations, etc. …. Je suis professeur de botanique dans l’Ecole Supérieure de Magie depuis sept années. L’envie de passer la maîtrise pour devenir conférencier m’ait venue du souhait de vouloir faire des conférences et donner au plus grand nombre un peu de mon savoir.
J’ai eu pour thème
« Les effets météorologiques et humains sur les plantes aquatiques et lien avec le reste de la faune et de la flore aquatique ou non ». Ce sujet aborde un des fondements même de la botanique : Aquariophilie ; autrement dît, l’étude des plantes aquatiques. C’est un sujet très intéressant qui sollicite de nombreuses connaissances tant dans le domaine de la botanique que de la météorologie et les sciences sociales. Je me suis penché sur le sujet pendant de nombreuses semaines, rapportant des documents et me formant un dossier complémentaire afin de répondre à la problématique. Veuillez trouver
ci-dessous mon développement. »


Il résumait dans cette introduction ces motivations et un faisait un rapide topo du sujet. L’introduction était courte mais assez complète. Il lui restait maintenant à faire une conclusion. Mais là, il était trop fatigué pour faire quoi que ce soit. Il se dirigea vers sa chambre et s’écrasa sur son lit. Il finirait le
lendemain. En attendant, il se laissa guider par Morphée dans le monde des rêves.
Robert se réveillé à dix heure et demie, frais comme un gardon. Prit d’une inspiration sans pareille, il se dirigea droit vers son bureau. Il ouvrit le rideau de la fenêtre qui était derrière son bureau, laissant entrer
le jour dans la pièce. Le bois des meubles brillait sous le soleil qu’ils n’avaient pas vu depuis longtemps. Robert s’assit et se mit à écrire. Il installait la dernière pierre de l’édifice.

« Conclusion :

A travers ce développement, je vous ais décrit les principaux aspects de la déviation météorologique, illustré d’exemples. Je pense que vous aurez compris que le principal ennemi de la nature est la nature elle-même. En effet, j’ai pu constater lors de mes recherches que le réchauffement climatique était la
principale cause de disparition de certaines espèces, notamment les espèces nordiques. Il faut donc absolument mettre un terme à cette catastrophe écologique dont les effets néfastes ne cessent d’apparaître. De plus, on constate que la disparition d’une espèce peut chambouler toute la vie d’un
écosystème il faut donc mettre en place des réserves naturelles pour préserver des races proches de l’extinction. J’ai pu constater que la disparition de certaines espèces végétales aquatiques entraînait la disparition de certaines espèces animales et/ou végétales. Ceci entraîne une désertification de
certaines zones géographiques. Il faut impérativement remédier à cette désertification qui, à grande échelle, pour devenir un sérieux problème pour les pays souffrant de cette « maladie ». Encore un autre problème, l’est celui de la surpopulation. Il faut trouver un moyen de faire une politique antinataliste
qui fonctionne dans les zones déjà surpeuplées. Nous remarquons que se sont précisément ces zones qui sont fréquemment victime de tsunami ou autres catastrophes naturelles. Or, ces catastrophes font certes des dégâts matériels et humains mais aussi de nombreux dégâts écologiques qui sont souvent irréversible…. Un autre danger donné par l’homme : la pollution. Il faut absolument que les moldus comprennent qu’ils détruisent eux-mêmes leurs lieux de vie. Leurs usines, voitures et autres engins polluants détruisent la nature et détraquent le climat. Tout ceci à des conséquences directes sur les plantes aquatiques dont le système de traitement de l’information en fonction de la chaleur, de la
rapidité du courant, de la présence ou non de certaines molécules etc. est détraqué. L’homme ne se sert pas de la nature, il en abuse et la détruit.

En conclusion de cette conclusion, je réponds à la problématique en écrivant que la météo est un facteur à la fois dangereux et essentiel pour la nature et les plantes aquatiques. En effet, les plantes ont besoin de soleil pour vivre. Elles ont besoins de pluie mais le réchauffement climatique engendré par l’homme est dangereux pour elles car celles-ci ne sont pas habitués aux écarts de températures, elles ne sont pas habitués à avoir des températures d’un moi de juillet au mois de mars. Tous ces facteurs dérèglent leur comportement et il faut que la nature apprenne à s’autoréguler sur une route où les limitations de vitesse changent tous les kilomètres. »

Robert mis le point final à sa maîtrise. En quatre jours d’écriture et deux semaines de recherche, il avait finit par réussir. Fier de lui, il referma le rouleau de parchemin, mis son manteau pris sa maîtrise et se rendit au ministère, attendant le verdict.
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Julian Preyleurd
Homme politique, leader des conservateurs.
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MessageSujet: Re: Maîtrise de Monsieur Walpole Robert.   Maîtrise de Monsieur Walpole Robert. Icon_minitimeDim 11 Mar - 15:28


[La flemme de changer de compte]

Maîtrise seule :


Introduction :




Dans nos contrées, nos régions, nos pays, nos continents, nous croisons des animaux, des humains mais aussi des plantes. De tous, il me semble que ce sont les plantes les plus intéressantes. J’en ai d’ailleurs fait mon métier. Les plantes sont fascinantes dans le sens où elles sont très variées, ont une reproduction autre que sexuée, ont des besoins essentiels différents de ceux des êtres vivants, ont
différentes utilisations, etc. …. Je suis professeur de botanique dans l’Ecole Supérieure de Magie depuis sept années. L’envie de passer la maîtrise pour devenir conférencier m’ait venue du souhait de vouloir faire des conférences et donner au plus grand nombre un peu de mon savoir.
J’ai eu pour thème « Les effets météorologiques et humains sur les plantes aquatiques et lien avec le reste de la faune et de la flore aquatique ou non ». Ce sujet aborde un des fondements même de la botanique : Aquariophilie ; autrement dît, l’étude des plantes aquatiques. C’est un sujet très intéressant qui sollicite de nombreuses connaissances tant dans le domaine de la botanique que de la météorologie et les sciences sociales. Je me suis penché sur le sujet pendant de nombreuses semaines, rapportant des documents et me formant un dossier complémentaire afin de répondre à la problématique. Veuillez trouver ci-dessous mon développement.

L’Angleterre est un pays au temps assez humide et frais. Nous trouvons donc ici des plantes qui
répondent à un tel climat. La Silicium Aquaris, par exemple, est une plante typique du paysage aquatique anglais. Se trouvant dans les rivières, La Silice d’eau prolifère en même temps que la fraie des saumons afin que le pollen s’accroche aux œufs de poisson pour conquérir du territoire. Or, le réchauffement climatique dérègle le comportement des saumons qui fraient plus tôt dans l’année. Donc, lorsque les Silices pollinisent, le pollen ne peut s’accrocher à rien. Il y a donc des zones qui sont en surpopulation de Silices puisque l’espèce était déjà présente et des zones où il n’y a pas de Silice puisqu’aucune pollinisation n’a été jusque là. En lien direct, la Silice fait partie du régime alimentaire du Crapaud cornu. Cependant, puisque la Silice est non présente dans certaines zones, on déplore une baisse de fréquentation de ces lieux par les crapauds cornus. Cette disparition des crapauds cornus entraine une disparition des Hérons Scandinaves car ceux-ci se nourrissent presque exclusivement de crapauds cornus. Ce qui finit par une désertification de certaines zones géographiques. Cette désertification est beaucoup plus visible dans certains endroits comme en Irlande. En effet, là-bas
les pluies incessantes font partie du paysage local. Les Bourdons troglodytes avait donc fait de l’Irlande leur pays de prédilection. Malheureusement, on constate depuis quelques temps que l’augmentation de la pollution due aux usines moldus dérègle le climat et que les pluies se font de plus en plus rares. Les bourdons troglodytes changent donc de région, cherchant un endroit où les pluies sont plus récurrentes. La désertification de l’Irlande par les bourdons troglodytes est un énorme problème écologique puisque cette race de bourdon était la seule capable de transporter le pollen de la Stratulla Vénéna dont seule la fleur dépasse de l’eau. Le pollen de cette fleur est tellement poison qu’aune insecte ne s’y frotte si ce n’est les bourdons troglodytes. Ceux-ci étant de plus en plus rares, les Stratulla Vénéna disparaissent petit à petit. Le problème étant que la Stratulla Vénéna est déjà une plante rare mais en plus la racine de cette plante est essentielle à la composition de certaines potions médicales comme la potion suprérectile qui résout les troubles érectiles. A cette vitesse, d’ici dix ans cette plante à la belle fleur violette disparaîtra des paysages irlandais et les personnes souffrant de trouble de l’érection devront inciter leurs femmes à aller voir ailleurs pour assouvir leurs pulsions
sexuelles.
Changeons de région et dirigeons nous sur les berges de la mer Méditerranée. Dans cette région
ensoleillée, nous trouvons abondamment de la Branchiflore. Cette plante à l’aspect répugnant est très utile pour les nageurs qui souhaitent battre des records. Malheureusement pour eux, la Méditerranée est devenue une vraie poubelle. Nous constatons également des vents de plus en plus violents sur la côte. La branchiflore s’accroche aux rochers pour ne pas être emportée par le courant. Mais à marrée basse, les plantes ne sont plus sous l’eau et les vents violents les décrochent des rochers pour les envoyer voir du pays. Ceci ajouté à la baisse de pollinisation due à l’augmentation des déchets dans la mer, la branchiflore disparait peu à peu des côtes.
En Asie, on constate un fort taux de pollution qui ne cesse de croître depuis quelques années. On
remarque, en conséquence à ce phénomène la disparition de certaines espèces comme la Phitanicus Aquarius. Cette plante aquatique prospère dans un milieu sein avec un courant peu fort. L’accroissement de la pollution aérienne et marine a vivement affecté le fonctionnement de ces plantes qui ont commencé à double les saisons de pollinisation. On constate donc dans les pays asiatiques comme la Chine une surpopulation de Phitanicus Aquarius due à une forte pollution. En contrepartie, à cause de cette pollution, on déplore l’éradication totale de l’orchidée des marais, une plante carnivore dont le venin contenue dans les glandes salivaires sert en cuisine pour donner un petit goût piquant. La disparition de cette espèce n’a pas entrainé une catastrophe écologique car cette plante était déjà rare et n’entrait dans le régime alimentaire que de certaines rares espèces. On trouve également au Japon une espèce rarissime d’Algus Véritatus. Cette plante aquatique entre dans la composition du veritaserum. Mais cette potion est très utilisée par les collèges japonais et on constate une forte baisse de fréquentation des mers par l’Algus Veritatus. Cette espèce étant déjà rare naturellement, la
forte utilisation de celle-ci par les hommes ne fait qu’augmenter le malaise.De plus, la surpopulation asiatique fait que de nombreux tsunami surviennent sur les côtes. A chaque vague, les plantes vivants sur les fonds marins sont éjectées sur les plages et dépérissent. C’est le cas du Fluxi Aquastius qui vit
accroché telle une ventouse sur le fond marin. A chaque tsunami, la population de Fluxi Aquastius diminue car les plantes les plus vieilles ne collent pas assez au sol et sont emportées par le courant. Cette plante est utilisée dans la médecine locale pour soigner les rhumatismes, sa disparition va entraîner une baisse de production des médicaments et donc de plus en plus de problèmes pour
les personnes âgées.
Passons maintenant dans le grand nord. Là bas, le temps est toujours froid, les plantes y vivant se sont donc adaptées à de telles températures. Cependant, le réchauffement climatique augmente la température. La température de l’eau est donc plus chaude et ceci dérègle le fonctionnement des plantes. Prenons l’exemple de la Caldovis Nix Aquatis dont la pollinisation qui, habituellement, se déroule en juillet se déroule maintenant en mars. Mais en mars, les changements de températures se font plus ressentir et on peut passer de moins cinq à moins vingt en une nuit. Ces écarts de températures sont tels que les jeunes plantes ne survivent pas. Il y a donc deux polonistaion par ans. Mais à ce rythme, les plantes mères n’ont pas le temps de réapprovisionner leurs stocks de pollen et la polonistaion est moins dense. De ce fait, il y a moins de jeunes pousses. Au fil des ans, la Caldovis Nix Aquatis est vouée à une disparition certaine si les hommes ne réagissent pas.

Conclusion :

A travers ce développement, je vous ais décrit les principaux aspects de la déviation météorologique, illustré d’exemples. Je pense que vous aurez compris que le principal ennemi de la nature est la nature elle-même. En effet, j’ai pu constater lors de mes recherches que le réchauffement climatique était la
principale cause de disparition de certaines espèces, notamment les espèces nordiques. Il faut donc absolument mettre un terme à cette catastrophe écologique dont les effets néfastes ne cessent d’apparaître. De plus, on constate que la disparition d’une espèce peut chambouler toute la vie d’un
écosystème il faut donc mettre en place des réserves naturelles pour préserver des races proches de l’extinction. J’ai pu constater que la disparition de certaines espèces végétales aquatiques entraînait la disparition de certaines espèces animales et/ou végétales. Ceci entraîne une désertification de certaines zones géographiques. Il faut impérativement remédier à cette désertification qui, à grande échelle, pour devenir un sérieux problème pour les pays souffrant de cette « maladie ». Encore un autre problème, l’est celui de la surpopulation. Il faut trouver un moyen de faire une politique antinataliste
qui fonctionne dans les zones déjà surpeuplées. Nous remarquons que se sont précisément ces zones qui sont fréquemment victime de tsunami ou autres catastrophes naturelles. Or, ces catastrophes font certes des dégâts matériels et humains mais aussi de nombreux dégâts écologiques qui sont souvent
irréversible…. Un autre danger donné par l’homme : la pollution. Il faut absolument que les moldus comprennent qu’ils détruisent eux-mêmes leurs lieux de vie. Leurs usines, voitures et autres engins polluants détruisent la nature et détraquent le climat. Tout ceci à des conséquences directes sur les plantes aquatiques dont le système de traitement de l’information en fonction de la chaleur, de la rapidité du courant, de la présence ou non de certaines molécules etc. est détraqué. L’homme ne se sert pas de la nature, il en abuse et la détruit.
En conclusion de cette conclusion, je réponds à la problématique en écrivant que la météo est un
facteur à la fois dangereux et essentiel pour la nature et les plantes aquatiques. En effet, les plantes ont besoin de soleil pour vivre. Elles ont besoins de pluie mais le réchauffement climatique engendré par l’homme est
dangereux pour elles car celles-ci ne sont pas habitués aux écarts de températures, elles ne sont pas habitués à avoir des températures d’un moi de juillet au mois de mars. Tous ces facteurs dérèglent leur comportement et il faut que la nature apprenne à s’autoréguler sur une route où les limitations de vitesse changent tous les kilomètres.
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